D'abord ce qui caractérise cette correspondance, c'est que la nature de la relation entre destinateur (qui est connu) et destinataire est connue. Ce qui frappe le plus dans cette correspondance, c'est le fait que celui qui rédige ne savait pas que ses lettres seront publics d'où la véracité de ces derniers. Ces lettres ont une portée véridique ce qui montre l'importance de la vérité vis-à-vis du romanesque par exemple qui n'est pas tout à fait véridique.
Écrire au père laisse entendre que la relation c'est ce qui est construit au fond de la personne, laisse entendre que la relation entre les deux est un peu compliqué : celui avec qui tout semble claire, il y a peut peut être la peur entre lui et son fils, mais que signifie cette peur ? est-ce signe de respect ?
Le mot peur ici pèse lourd, l'interrogation reste ouverte !
Oralement ce qu'on dit, c'est beaucoup plus l'habitude, c'est l'écriture qui atteint la réalité des choses d'où
vient l'importance de l'épistolaire.
«Trop de détails» le lettre permet de se focaliser sur les détails, la lettre guérit, elle constitue une sorte de thérapie. Cette dernière permette de quérir de l'absence de dire des choses qui choquent. L’épistolaire relève d'une sorte de médecine alors !
«Très cher.....ma compréhension» ce paragraphe nous fait comprendre que la relation au père est mythologique, ce même paragraphe montre aussi à quel point cette relation entre père et fils est marquée par la soumission qui est signe de respect ! peur !
Il y a le mythe la loi, mais il y a la réalité : tenant compte ou non du mythe religieux Franz veut évoqué ce qui se passe au juste entre père et fils ce qui explique la présence de l'expression «Trop de détails» dans le texte.
«En ce qui te concerne.....personnes» le père simplifie, le fils est dans le détails ce qui forme une opposition, un lagunage des sourds et enfin un élément de conflit, une tension entre les deux comme s'il y a un face à face qui risque d'être explosif.
«Tu voyais cela à peu près .....ingratitude» le père croit que le fils ne se montre pas assez reconnaissant (ingratitude) puis le père ne semble pas prêt à accepter l'idée du mariage de son fils sans son accord. le fils à un univers dans lequel le père ne se reconnait pas et le père qualifie ça comme indifférence ce renvoie vers un problème éternel lié à la soumission exigée par le père. est-ce que aimer son père exige la nécessité de se dépersonnaliser ?
Quand on ai autonome le rapport aux autres devient intelligent.
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Écrire au père laisse entendre que la relation c'est ce qui est construit au fond de la personne, laisse entendre que la relation entre les deux est un peu compliqué : celui avec qui tout semble claire, il y a peut peut être la peur entre lui et son fils, mais que signifie cette peur ? est-ce signe de respect ?
Le mot peur ici pèse lourd, l'interrogation reste ouverte !
Oralement ce qu'on dit, c'est beaucoup plus l'habitude, c'est l'écriture qui atteint la réalité des choses d'où
vient l'importance de l'épistolaire.
«Trop de détails» le lettre permet de se focaliser sur les détails, la lettre guérit, elle constitue une sorte de thérapie. Cette dernière permette de quérir de l'absence de dire des choses qui choquent. L’épistolaire relève d'une sorte de médecine alors !
«Très cher.....ma compréhension» ce paragraphe nous fait comprendre que la relation au père est mythologique, ce même paragraphe montre aussi à quel point cette relation entre père et fils est marquée par la soumission qui est signe de respect ! peur !
Il y a le mythe la loi, mais il y a la réalité : tenant compte ou non du mythe religieux Franz veut évoqué ce qui se passe au juste entre père et fils ce qui explique la présence de l'expression «Trop de détails» dans le texte.
«En ce qui te concerne.....personnes» le père simplifie, le fils est dans le détails ce qui forme une opposition, un lagunage des sourds et enfin un élément de conflit, une tension entre les deux comme s'il y a un face à face qui risque d'être explosif.
«Tu voyais cela à peu près .....ingratitude» le père croit que le fils ne se montre pas assez reconnaissant (ingratitude) puis le père ne semble pas prêt à accepter l'idée du mariage de son fils sans son accord. le fils à un univers dans lequel le père ne se reconnait pas et le père qualifie ça comme indifférence ce renvoie vers un problème éternel lié à la soumission exigée par le père. est-ce que aimer son père exige la nécessité de se dépersonnaliser ?
Quand on ai autonome le rapport aux autres devient intelligent.
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