La prise de conscience de l’importance de la perception n’exclut en
rien le caractère autobiographique d’une ouvre donnée. D’ailleurs Driss Chraïbi
ouvre son autobiographie par une référence au moment de l’énonciation;
ce qui est un procédé classique du genre autobiographique, il écrit : »
à mon âge -71 ans déjà- je remonte à pas paisibles le chemin parcouru,
sans notion de temps et d’espace je me retourne vers mon passé ».
Une page plus loi, l’auteur recours à un autre procédé classique de l’écriture autobiographique qui consiste à
évoquer la date et le lieu de naissance de l’autobiographie : « j’ai vu le jour au Maroc à El Jadida ….on me nantis d’une date de naissance officielle, certifiée et tamponnée par un officier de police ….15 Juillet 1926« .
Il est à rappeler que tous les faits rapportés après cette entré en matière identitaire sont authentiques, notamment ceux se rapportant à sa famille à El Jadida, à sa famille originaire de Fès, à son père et à sa fortune, à sa mère et à sa docilité ………………à l’institut Guessous où il a appris le Français, à ses vacances à El Jadida, à à ses études au lycée Lyoté et à ces camardes de classe, à sa relation avec Geneviève, à ces études à l’école de chimie, à ses voyages à travers le monde pour donner des conférences, à ses débuts à France-Culture, à son retour au Maroc après un exil volontaire ……
Tous ces faits cadrent parfaitement, avec ceux donnés de l’auteur dans la notice biographique. se rapportant à lui, le mot récit inscrit sur la couverture du Monde à Côté de Driss Chraïbi permet pas de rendre compte d’une manière claire des genres auxquels il appartient. L’équivoque qui s’installe et dû essentiellement à l’essence même du terme employé. Selon Gérard Genette dans Figures III : » Le récit consiste en la présence d’un événement ou d’une suite d’événements réels ou fictifs par le moyen du langage écrit. » D’après cette définition, le terme récit n’évoque pas une réalité clairement définie, dans la mesure où il s’associe aussi bien à des textes référentielles comme l’autobiographie, le journal …cas des texte fictifs comme le conte, la fable, la nouvelle, le roman …D’ailleurs le mot récit peut s’associer aussi à d’autres formes du discours qui appartiennent aux différents registres comme le journalisme, le cinéma …Certe le mot récit ne permet ne permet d’indiquer clairement le genre auquel appartient le Monde à Côté. Il n’en demeure pas moins que d’autres éléments du paratexte, notamment la 4ième de couverture rattache ce texte au genre autobiographique : » Avec la malice du compteur qui n’épargne personne, note l’éditeur, il ressuscite ses années France-Cluture , ses années Alsacienne et Canadienne, ses années à l’île Dieu. » et l’éditeur d’ajouter : » Amis et rencontres resurgissent du passé, dans sa langue inventive et politique réveille la magie des paysages, des livres, des femmes de sa vie …. ».
Une page plus loi, l’auteur recours à un autre procédé classique de l’écriture autobiographique qui consiste à
évoquer la date et le lieu de naissance de l’autobiographie : « j’ai vu le jour au Maroc à El Jadida ….on me nantis d’une date de naissance officielle, certifiée et tamponnée par un officier de police ….15 Juillet 1926« .
Il est à rappeler que tous les faits rapportés après cette entré en matière identitaire sont authentiques, notamment ceux se rapportant à sa famille à El Jadida, à sa famille originaire de Fès, à son père et à sa fortune, à sa mère et à sa docilité ………………à l’institut Guessous où il a appris le Français, à ses vacances à El Jadida, à à ses études au lycée Lyoté et à ces camardes de classe, à sa relation avec Geneviève, à ces études à l’école de chimie, à ses voyages à travers le monde pour donner des conférences, à ses débuts à France-Culture, à son retour au Maroc après un exil volontaire ……
Tous ces faits cadrent parfaitement, avec ceux donnés de l’auteur dans la notice biographique. se rapportant à lui, le mot récit inscrit sur la couverture du Monde à Côté de Driss Chraïbi permet pas de rendre compte d’une manière claire des genres auxquels il appartient. L’équivoque qui s’installe et dû essentiellement à l’essence même du terme employé. Selon Gérard Genette dans Figures III : » Le récit consiste en la présence d’un événement ou d’une suite d’événements réels ou fictifs par le moyen du langage écrit. » D’après cette définition, le terme récit n’évoque pas une réalité clairement définie, dans la mesure où il s’associe aussi bien à des textes référentielles comme l’autobiographie, le journal …cas des texte fictifs comme le conte, la fable, la nouvelle, le roman …D’ailleurs le mot récit peut s’associer aussi à d’autres formes du discours qui appartiennent aux différents registres comme le journalisme, le cinéma …Certe le mot récit ne permet ne permet d’indiquer clairement le genre auquel appartient le Monde à Côté. Il n’en demeure pas moins que d’autres éléments du paratexte, notamment la 4ième de couverture rattache ce texte au genre autobiographique : » Avec la malice du compteur qui n’épargne personne, note l’éditeur, il ressuscite ses années France-Cluture , ses années Alsacienne et Canadienne, ses années à l’île Dieu. » et l’éditeur d’ajouter : » Amis et rencontres resurgissent du passé, dans sa langue inventive et politique réveille la magie des paysages, des livres, des femmes de sa vie …. ».
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