Les phrases d'Annie ouvrent des perspectives de lecture, i l y a plusieurs interprétation, mais la question principale concerne ce titre "La Honte" : pourquoi est-ce qu'elle écrit un roman a propos de la honte ? quel est l'intérêt d'évoquer ce qui est privé ?
Prenant par exemple la page 16, d'abord l'aligné et l'espace séparant les paragraphes montre l'idée du passage du temps et donc ce récit n'est pas linéaire puisqu'il y a ces vides. Puis l’expression "A quelques hommes ....dans la peau", cela montre qu'Annie est tellement intime avec ces hommes qu'elle pourrait les parler des choses de ce sorte, il y a pas d’hésitation elle est à l'aise avec ces hommes, mais l’expression "Tous ce sont tue après l'avoir entendue" montre le poids de l'événement, la révélation du linge salle de la famille n'est pas évident et c'est pourquoi les homme n'avaient pas envie d'entendre. Donc la "Honte" est un défi contre le silence, contre une société dont il y a plein de tabous. Ce défi met la société en face d'elle même. Le propos du roman, c'est dire le secret familial " J'écris cette scène pour la première fois.....un
journal intime".
Les gens font semblant de ne pas avoir des soucis, ce qui se lit dans l'expression "Même, depuis que j'ai réussi à faire ce récit.....imaginé". La littérature perce le voile de l'apparence, casse les faux miroirs qui reflètent des autres images de soi même pour envoyer vers une image réaliste reflétant la nature humaine telle qu'elle est. Prenons maintenant l'expression "Peut être que le récit......dramatique" qui, sans doute, imposera une certaine distance du lecteur vis-à-vis du geste du père et enfin libérer ce lecteur des choses qui pourront lui faire mal. Ce qu'on vient de dire là donnera lieu à ce qu'on appelle le "catharsis". Puis ce récit que les lecteurs réfléchissent au risque que la violence peut entrainer parce que ce qui est arrivé à l'auteur peut arriver au lecteur.
La préface dans "La honte" fait partie du récit, c'est ce qui se voit à travers le discours pré-facial contenu dans ce récit : le récit parfois cède la place pour parler du sens de l'écriture.
"Mais parce que j'ai toujours .....les autres" cela montre que parler des choses qui torturent la personne peut emmener à la liberté.
"Avant de commencer .....détail" cette expression rappelle l'oublie qui constitue une menace. l'oublie est une chose à la fois heureuse et malheureuse, sans oublier peut être on sera tous fous, c'est l'oublie qui permet de survivre.
"Si ma mère avait encore...... commerçante" se rappeler de la blouse qui est prise dans se sens comme une source de blessure : "encore" là à un sens douloureux, il y a de la rage dans la grammaire d'Ernaux. Le mot "encore" signifie "plus", mais renvois à la douleur d'un souvenir, "encore" dans ce sens ce n'est pas additionner d'une façon neutre donc. Tout ça montre que ce qui est blessant, c'est qu'on oublie difficilement.
"Je suis sûre ............de vent" la robe est devenu symbole de l'événement (le mal est lié à cette robe là)
"Après ce dimanche là...filtre" l'événement à façonner la vie de la narratrice de manière à tout rattacher à l'événement.
Le regard Annie Ernaux, c'est le regard d'un peintre puisqu'il est cinétique, visuel.
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Prenant par exemple la page 16, d'abord l'aligné et l'espace séparant les paragraphes montre l'idée du passage du temps et donc ce récit n'est pas linéaire puisqu'il y a ces vides. Puis l’expression "A quelques hommes ....dans la peau", cela montre qu'Annie est tellement intime avec ces hommes qu'elle pourrait les parler des choses de ce sorte, il y a pas d’hésitation elle est à l'aise avec ces hommes, mais l’expression "Tous ce sont tue après l'avoir entendue" montre le poids de l'événement, la révélation du linge salle de la famille n'est pas évident et c'est pourquoi les homme n'avaient pas envie d'entendre. Donc la "Honte" est un défi contre le silence, contre une société dont il y a plein de tabous. Ce défi met la société en face d'elle même. Le propos du roman, c'est dire le secret familial " J'écris cette scène pour la première fois.....un
journal intime".
Les gens font semblant de ne pas avoir des soucis, ce qui se lit dans l'expression "Même, depuis que j'ai réussi à faire ce récit.....imaginé". La littérature perce le voile de l'apparence, casse les faux miroirs qui reflètent des autres images de soi même pour envoyer vers une image réaliste reflétant la nature humaine telle qu'elle est. Prenons maintenant l'expression "Peut être que le récit......dramatique" qui, sans doute, imposera une certaine distance du lecteur vis-à-vis du geste du père et enfin libérer ce lecteur des choses qui pourront lui faire mal. Ce qu'on vient de dire là donnera lieu à ce qu'on appelle le "catharsis". Puis ce récit que les lecteurs réfléchissent au risque que la violence peut entrainer parce que ce qui est arrivé à l'auteur peut arriver au lecteur.
La préface dans "La honte" fait partie du récit, c'est ce qui se voit à travers le discours pré-facial contenu dans ce récit : le récit parfois cède la place pour parler du sens de l'écriture.
"Mais parce que j'ai toujours .....les autres" cela montre que parler des choses qui torturent la personne peut emmener à la liberté.
"Avant de commencer .....détail" cette expression rappelle l'oublie qui constitue une menace. l'oublie est une chose à la fois heureuse et malheureuse, sans oublier peut être on sera tous fous, c'est l'oublie qui permet de survivre.
"Si ma mère avait encore...... commerçante" se rappeler de la blouse qui est prise dans se sens comme une source de blessure : "encore" là à un sens douloureux, il y a de la rage dans la grammaire d'Ernaux. Le mot "encore" signifie "plus", mais renvois à la douleur d'un souvenir, "encore" dans ce sens ce n'est pas additionner d'une façon neutre donc. Tout ça montre que ce qui est blessant, c'est qu'on oublie difficilement.
"Je suis sûre ............de vent" la robe est devenu symbole de l'événement (le mal est lié à cette robe là)
"Après ce dimanche là...filtre" l'événement à façonner la vie de la narratrice de manière à tout rattacher à l'événement.
Le regard Annie Ernaux, c'est le regard d'un peintre puisqu'il est cinétique, visuel.
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