Dans cette lettre de Pline, à côté de la narration il y a bien une réflexion ce qui rends cette lettre très riche. Pline ici évoque la philosophie de son ami mort, qui accepte la mort sans se lamenter et qui ne reste pas désarmé devant le destin. Il subit pas ce dernier tel qu'il est, cette philosophie c'est qu'on appelle le stoïcisme.
Le mot "perte" se reprends dans le texte, ce dernier comprends la mort et bien d'autre chose, ce mot constitue un terme extensible. On ne sait pas ce qu'il y a au juste derrière ce mot, or il signale la gravité.
L'emploie de "si" dans ce texte envoie vers l'hypothèse, ce "si" montre un certain degré de gravité, la force. Puis la prose ressemble à la poésie ici puisque nous somme dans le rythme à côté du signification. Enfin les répétitions dans cette lettre, plutôt cette redondance rythmique constitue une mélodie. Nous somme en prose poétique. Comme mentionner là dessus il y a des répétitions, mais qui porte à chaque fois un nouveau sens.
Enfin l'idée de chanter la mort est bien présente, ce texte rappelle le "chant funèbre", Pline exprime la douleur à la fois en appuyant les consonnes et en allongeant les voyelles. Le "je" dans ce texte souligne l'importance du "moi", le "si" traduit la recule aussi. Chanter cette mort ce fait grâce à une progression du particulier en générale et vice-versa.
Prenons la phrase "mort .......et de son propre gré", la conjonction de coordination "et" dans cette phrase dépasse l'addition à l'idée de rajouter la gravité, il amplifie. Donc à côté du rôle grammaticale qu'a cette conjonction de coordination il a autre chose, il a un emploi stylistique ici. Il y a bien de la dépendance entre les phrase de Pline (subordination) ce qui explique l'argumentation et reflète la philosophie de celui qui écrit.
Dans cette lettre il y a de la narration et surtout de la réflexion qui accompagne l'émotion, ce qui fait appel à un discours minutieux.
L'extrait "en dépit des .....longtemps" évoque une perte qui est synonyme de soulagement et que la mort ici exprime deux idées : mort comme perte et un autre mort comme gain.
Pline dans cette lettre a le rôle d'un grammairien, il fait correspondre les mots et les situations. Reprise du mot "encore" deux fois : l’expression "bien encore" exprime ce qui quantitatif, puis "encore à ma douleur" consiste une exclamation qui traduit l'émotion, plutôt une déclarative avec émotion.
"Ni...ni" ceci rappelle de la logique, l’objectivité et la rationalité. Dans la subjectivité il y a un élément fondamental qui est la répétition.
Prenons l'extrait suivant "Une nécessité impérieuse..............motifs de mourir" l'explication entre les deux tirets montre la logique. Puis malgré que l'ami de Pline avait toutes les conditions pour rester il s'est donné la mort ce qui évoque un certain dialectique : même si la mort est source de tristesse on finit par l'accepter. L'énumération contenue dans l'extrait, c'est raisonnement logique dont le choix de l'ordre traduit l'émotion. Enfin dans ce paragraphe nous somme face à une suite de formes grammaticales ce qui reflète un souci du réflexion sur l’événement de la mort, mais l'expression de l'émotion aussi.
Dans cette lettre on entend chaque fois la même musique ce qui évoque la rime caractérisant la prose. L'absent est rendu si présent dans l'écriture de Pline (Il ........il....son père....etc.).
L'importance de l'épistolaire se voit à travers la manière avec laquelle s'exprime l'intime puis l'intérêt de cette révélation des sentiments par l'auteur.
Dans la lettre de Pline il y a deux type de répétition :
Les noms, les adjectifs, les comparatifs, les images .....sont des termes relevant du sentimental
Les termes "perte, ami... enfin tous les termes qui ont une charge émotive exprimant la tristesse et la douleur envoient au "moi" souffrant
Le poids du mot "perte" pour Pline ne suffit pas pour exprimer la douleur, si comme si Pline dise :"certain mots n'ont pas suffisamment de poids pour dire ma douleur. Pline pèse ces mots, prenons par exemple la phrase "j'ai éprouver une perte.......si grand homme" : "si" et "encore" dans cette phrase expriment l'intensité, plutôt l'intensité des mots.
"Cette infirmité .......tourments" dans cette expression il y a une mélodie, une parenté phonique (incroyables/effroyables).
"Car déjà son mal.....se retirait" là il y a d'abord une localisation (près de Rome) puis cette expression exprime à la fois la présence du récit ce qui donne la vie à l'écriture. Puis dans la même phrase il y a (ses esclaves se retirent) qui consiste une règle culturel. Il y a aussi l'opposition (même sa femme.....se retirait) : Pline évoque chaque fois une chose puis son opposé).
L'ami de Pline dans cette lettre est surreprésenté (ses, son, il...) : le mot ami et chaque fois repris, mais différemment. Il y a ici une présence excessive de l'absent, alors que parfois éclipser le présent. Pline ne cesse de citer son ami, ce qui est signe d'amour, du respect et du raisonnement aussi (subjectivité et objectivité).
"Son vœu....à la vie" Pline a le souci de peser les mots, il est a chaque fois dans le quantitatif, cela dit qu'il est un écrivain grammairien et qui dit philosophe dit grammairien. Tout ceci rappelle la subtilité de celui qui as écrit.
"Le mal empira.....le mal redoubla...puis trois, puis quatre" ces expression constituent une exagération pour rappeler l’inévitable. là Pline dramatise ce qui rappelle le théâtre et souligne la gravité de la situation.
Partager
Le mot "perte" se reprends dans le texte, ce dernier comprends la mort et bien d'autre chose, ce mot constitue un terme extensible. On ne sait pas ce qu'il y a au juste derrière ce mot, or il signale la gravité.
L'emploie de "si" dans ce texte envoie vers l'hypothèse, ce "si" montre un certain degré de gravité, la force. Puis la prose ressemble à la poésie ici puisque nous somme dans le rythme à côté du signification. Enfin les répétitions dans cette lettre, plutôt cette redondance rythmique constitue une mélodie. Nous somme en prose poétique. Comme mentionner là dessus il y a des répétitions, mais qui porte à chaque fois un nouveau sens.
Enfin l'idée de chanter la mort est bien présente, ce texte rappelle le "chant funèbre", Pline exprime la douleur à la fois en appuyant les consonnes et en allongeant les voyelles. Le "je" dans ce texte souligne l'importance du "moi", le "si" traduit la recule aussi. Chanter cette mort ce fait grâce à une progression du particulier en générale et vice-versa.
Prenons la phrase "mort .......et de son propre gré", la conjonction de coordination "et" dans cette phrase dépasse l'addition à l'idée de rajouter la gravité, il amplifie. Donc à côté du rôle grammaticale qu'a cette conjonction de coordination il a autre chose, il a un emploi stylistique ici. Il y a bien de la dépendance entre les phrase de Pline (subordination) ce qui explique l'argumentation et reflète la philosophie de celui qui écrit.
Dans cette lettre il y a de la narration et surtout de la réflexion qui accompagne l'émotion, ce qui fait appel à un discours minutieux.
L'extrait "en dépit des .....longtemps" évoque une perte qui est synonyme de soulagement et que la mort ici exprime deux idées : mort comme perte et un autre mort comme gain.
Pline dans cette lettre a le rôle d'un grammairien, il fait correspondre les mots et les situations. Reprise du mot "encore" deux fois : l’expression "bien encore" exprime ce qui quantitatif, puis "encore à ma douleur" consiste une exclamation qui traduit l'émotion, plutôt une déclarative avec émotion.
"Ni...ni" ceci rappelle de la logique, l’objectivité et la rationalité. Dans la subjectivité il y a un élément fondamental qui est la répétition.
Prenons l'extrait suivant "Une nécessité impérieuse..............motifs de mourir" l'explication entre les deux tirets montre la logique. Puis malgré que l'ami de Pline avait toutes les conditions pour rester il s'est donné la mort ce qui évoque un certain dialectique : même si la mort est source de tristesse on finit par l'accepter. L'énumération contenue dans l'extrait, c'est raisonnement logique dont le choix de l'ordre traduit l'émotion. Enfin dans ce paragraphe nous somme face à une suite de formes grammaticales ce qui reflète un souci du réflexion sur l’événement de la mort, mais l'expression de l'émotion aussi.
Dans cette lettre on entend chaque fois la même musique ce qui évoque la rime caractérisant la prose. L'absent est rendu si présent dans l'écriture de Pline (Il ........il....son père....etc.).
L'importance de l'épistolaire se voit à travers la manière avec laquelle s'exprime l'intime puis l'intérêt de cette révélation des sentiments par l'auteur.
Dans la lettre de Pline il y a deux type de répétition :
- Articulation logique : car, en dépit de, les deux points .......etc
- Coordonnant et subordonnant : liaison des phrases d'une manière organique ("si" par exemple)
Les noms, les adjectifs, les comparatifs, les images .....sont des termes relevant du sentimental
Les termes "perte, ami... enfin tous les termes qui ont une charge émotive exprimant la tristesse et la douleur envoient au "moi" souffrant
Le poids du mot "perte" pour Pline ne suffit pas pour exprimer la douleur, si comme si Pline dise :"certain mots n'ont pas suffisamment de poids pour dire ma douleur. Pline pèse ces mots, prenons par exemple la phrase "j'ai éprouver une perte.......si grand homme" : "si" et "encore" dans cette phrase expriment l'intensité, plutôt l'intensité des mots.
"Cette infirmité .......tourments" dans cette expression il y a une mélodie, une parenté phonique (incroyables/effroyables).
"Car déjà son mal.....se retirait" là il y a d'abord une localisation (près de Rome) puis cette expression exprime à la fois la présence du récit ce qui donne la vie à l'écriture. Puis dans la même phrase il y a (ses esclaves se retirent) qui consiste une règle culturel. Il y a aussi l'opposition (même sa femme.....se retirait) : Pline évoque chaque fois une chose puis son opposé).
L'ami de Pline dans cette lettre est surreprésenté (ses, son, il...) : le mot ami et chaque fois repris, mais différemment. Il y a ici une présence excessive de l'absent, alors que parfois éclipser le présent. Pline ne cesse de citer son ami, ce qui est signe d'amour, du respect et du raisonnement aussi (subjectivité et objectivité).
"Son vœu....à la vie" Pline a le souci de peser les mots, il est a chaque fois dans le quantitatif, cela dit qu'il est un écrivain grammairien et qui dit philosophe dit grammairien. Tout ceci rappelle la subtilité de celui qui as écrit.
"Le mal empira.....le mal redoubla...puis trois, puis quatre" ces expression constituent une exagération pour rappeler l’inévitable. là Pline dramatise ce qui rappelle le théâtre et souligne la gravité de la situation.
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire