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vendredi 29 novembre 2013

Elle le soir/Deux yeux, Mahmoud Darwich

Elle le soir

S'il y a quelque chose contre la réalité, c'est la poésie. En réalité on ai esclaves de ce qu'on possède. Pour le poète rien n'est évident, il fait du «moi» un isthme, le «moi» ici n'est qu'une unité compactée, soudée et qui est brisé, fracturé à l'origine. 

«Elle est seule, le soir» cela présente deux réalités où se mêle autre et autrui dont la conscience est toujours la conscience de quelque chose. là il y a un  «moi» face à «autrui». Tout ça représente une image qui se relève de l'imaginaire de l'homme et qui rappelle « Adam et Ève ».

Ces deux images superposées sont représentées par le biais d'un scénario anthologique contenant un acte sexuel. puis le vers entre crochets [Rien ne brise notre nuit.] exprime une fusion totale des deux êtres, ça inscrit dans une évolution.....etc.

Deux yeux

Qui est-elle ?
Une partie prise pour le tout, on a ici une métonymie folle : elle porte uniquement sur les yeux. On dirais que le poète est entrain de décrire les yeux de Méduse
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