Ce texte constitue un poème libre dont le lien avec ce qu'on appelle Mu'allaqât n'est que la longueur. Dans ce poème qui traite un sujet insoluble (la mort) il y a exclusion du lyrisme tout en rappelant la finitude de l'homme. Le poète ici préfère rester coller à la réalité.
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- Fragments 1,2 : la couleur dominante, c'est le blanc, ce qui rappelle l’hôpital : l'auteur insiste beaucoup sur la blancheur. Ces passage forment une situation d'entre-deux (ni dans l'enfer, ni dans le paradis).
- Fragment 3 : A partir de là, le poète va faire le récit de la mort (cette mort sera apostrophée par la suite).
- Fragment 4 : Conception de la mort dans les autres cultures (les hindous) : l'idée de l'incarnation, question de l’immortalité (qui va être convoquée par la suite).
L'expérience du poète évoque ce qu'on appelle «l'Expérience de mort imminente».Le poème réécrit les autres textes qui abordent l'immortalité : l'expérience personnelle puis l'expérience universelles.
- Fragment 62 : le poète évoque Gilgamesh dont l'expérience face à la mort est celle de tout homme.
- Fragment 62 : Mahmoud fait parler Gilgamesh.
- Fragment 71 : le poète développe des images à travers ses propres lectures (Intertextualité), puis l'auteur évoque un miracle.
- Fragment 70 : mélange des textes : L’Odyssée d'Homère explique bien la question d’absence dans le texte.
Ce poème constitue un réseau.
- Fragment 29 : ça renvoie au jardin et ce dernier rappelle le paradis. L'auteur se voit déjà mort, l'au-delà pour lui, c'est ce texte, il a construit un paradis pour lui. C'est dans ce paradis que l'auteur va rencontrer des personnages telles que Gilgamesh, Homère.....etc.
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