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vendredi 27 décembre 2013

Mahmoud Darwich, «Quant à moi, je dis à mon nom/L'ombre»

L'ombre


Ce poème rappelle une attitude tragique, le texte c'est exactement l'histoire du ministre salomé. Ce texte décrit une expérience de la mort, un homme sans ombre est un revenant (mort qui revient). La culture de Mahmoud Darwich est exploitée dans ce poème qui rappelle L’aquarelle.

Pourquoi fuir son ombre ? 
S'il y a quelque chose de vrai dans cette vie, c'est la mort. On assiste à un défi à travers ce poème, Ce n'est pas le désir de la mort qui intéresse le poète, mais l'idée inéluctable de la mort : il est là, or demain il sera sans ombre. 

Chaque phrase dans ce texte a son ombre. Puis cette poésie interrogative n'apporte pas de réponse, elle se livre à des méditations. Là le poète est comme un enfant, il s'étonne comme s'il voyait les choses pour la première fois.  

Quant à moi, je dis à mon nom 


Ce poème forme une sorte de dialogue avec la langue qui est l'égal d'un dialogue avec une possibilité d'existence. Ce qui caractérise le nom, c'est son caractère arbitraire. Le nom est un trait distinctif, c'est pourquoi il appelle souvent des contraintes. 
Qui suis-je a fond ? question que le philosophe existentialiste pose ! est-ce que mon nom n'est pas une malédiction/bénédiction pour moi ? le nom peut être un hasard de l'histoire tel que le nom de Gamal Abdel Nasser ou Saddam Hussein. Ces noms (choisis par les parents) expriment le désir d'un héros. Enfin le nom cache l'homme ordinaire.  






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