La nouvelle entière est ici
L’histoire débute en Normandie, près de Rouen, au printemps. Le
narrateur se repose dans son jardin. Il observe un convoi de navires
traverser la Seine; il remarque un magnifique trois-mâts brésilien dont
la blancheur immaculée le subjugue. Cinq jours plus tard, le narrateur,
malade, se sent envahi par une mélancolie inexplicable.
L’angoisse d’un danger imminent l’étreint, il devient insomniaque. Il va consulter un médecin qui lui prescrit un traitement. Nullement soulagé, le narrateur est en proie à une terreur inexplicable. Ses nuits sont hantées par un cauchemar récurrent, au cours duquel il est agressé par un être invisible. Son état empire au fil des jours. Au cours d’une promenade dans la proche forêt de Roumare, il se sent suivi par une présence invisible tout près de lui. Le narrateur décide de partir en voyage.
L’angoisse d’un danger imminent l’étreint, il devient insomniaque. Il va consulter un médecin qui lui prescrit un traitement. Nullement soulagé, le narrateur est en proie à une terreur inexplicable. Ses nuits sont hantées par un cauchemar récurrent, au cours duquel il est agressé par un être invisible. Son état empire au fil des jours. Au cours d’une promenade dans la proche forêt de Roumare, il se sent suivi par une présence invisible tout près de lui. Le narrateur décide de partir en voyage.
Le narrateur part visiter le Mont-Saint-Michel. L’excursion est
merveilleuse, les paysages l’enchantent. A son retour il pense être
enfin guéri. Au cours de sa visite, un moine qui l’accompagnait lui fit
le récit d’une légende locale, qui le troubla vivement. Dès son retour à
Paris, début juillet, les cauchemars reprennent : il sent sur lui une
présence qui aspire sa vie.
La nuit suivante, il se lève et trouve sa carafe d’eau vide, sans qu’il se souvienne avoir bu dans la nuit. La nuit suivante, il laisse délibérément une carafe d’eau et une de lait pleines. Le lendemain, la carafe d’eau est vide, celle de lait entamée. Il décide de passer quelques jours à Paris. Dès le premier jour, il se sent mieux, au point d’être persuadé d’avoir été victime de son imagination. Bien que méprisant les fêtes populaires; le narrateur s’amuse pendant celle du 14 juillet.
La nuit suivante, il se lève et trouve sa carafe d’eau vide, sans qu’il se souvienne avoir bu dans la nuit. La nuit suivante, il laisse délibérément une carafe d’eau et une de lait pleines. Le lendemain, la carafe d’eau est vide, celle de lait entamée. Il décide de passer quelques jours à Paris. Dès le premier jour, il se sent mieux, au point d’être persuadé d’avoir été victime de son imagination. Bien que méprisant les fêtes populaires; le narrateur s’amuse pendant celle du 14 juillet.
Au cours d’une soirée chez sa cousine, le narrateur rencontre le
Docteur Parent; ce spécialiste des pathologies nerveuses procède à une
démonstration d’hypnose sur sa cousine : il l’endort, puis lui ordonne
de se lever à une heure précise, de se rendre chez son cousin et de lui
réclamer une somme d’argent pour son époux. Le lendemain, celle-ci
s’exécute, sans se souvenir avec été hypnotisée. Une nouvelle séance
d’hypnose la libère de l’emprise du médecin, effaçant en elle tout
souvenir de l’injonction. Troublé, le narrateur raconte la séance
d’hypnose à ses amis qui se moquent de lui. Il rentre chez lui. Deux
jours passent dans le calme. Des verres se brisent au cours de la nuit,
les domestiques s’accusent mutuellement.
Dans son jardin, le narrateur, terrifié, voit une rose cueillie par un être invisible. Désormais persuadé qu’une créature invisible hante sa demeure, il décide de nouveau de partir de chez lui. Mais toute volonté semble l’avoir abandonné. Le narrateur sent qu’il tombe sous l’emprise de la créature, qu’il nomme le Horla.
Dans son jardin, le narrateur, terrifié, voit une rose cueillie par un être invisible. Désormais persuadé qu’une créature invisible hante sa demeure, il décide de nouveau de partir de chez lui. Mais toute volonté semble l’avoir abandonné. Le narrateur sent qu’il tombe sous l’emprise de la créature, qu’il nomme le Horla.
Un jour, il parvient à se rendre à la bibliothèque de Rouen,
emprunte un livre sur les manifestations occultes qu’il lit
intégralement en une nuit, sans y trouver un cas correspondant au sien.
Le surlendemain, il apprend dans une publication scientifique qu’une épidémie de folie identique à la sienne sévit au Brésil. Se souvenant que sa maladie apparut le lendemain du jour où il vit le trois-mâts brésilien traverser la Seine, le narrateur fait immédiatement le lien. Ayant réussi à percevoir sa présence dans un miroir, il décide de tuer le Horla.
De sa chambre d’hôtel à Rouen, le narrateur évoque l’incendie qu’il a provoqué dans sa propre maison la veille. Ses domestiques sont morts brûlés vifs, mais il pense que la nature surhumaine du Horla lui a permis de survivre aux flammes. Il se persuade que le seul moyen de s’en libérer est de se tuer.
Le surlendemain, il apprend dans une publication scientifique qu’une épidémie de folie identique à la sienne sévit au Brésil. Se souvenant que sa maladie apparut le lendemain du jour où il vit le trois-mâts brésilien traverser la Seine, le narrateur fait immédiatement le lien. Ayant réussi à percevoir sa présence dans un miroir, il décide de tuer le Horla.
De sa chambre d’hôtel à Rouen, le narrateur évoque l’incendie qu’il a provoqué dans sa propre maison la veille. Ses domestiques sont morts brûlés vifs, mais il pense que la nature surhumaine du Horla lui a permis de survivre aux flammes. Il se persuade que le seul moyen de s’en libérer est de se tuer.
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