- Syllabe fermée : rappelant qu’une syllabe fermé se termine par une consonne articulée ex cheval contient deux syllabes che/val dont val est la syllabe fermé. alors quand la voyelle est entravée, l’allongement ou non de cette dernière dépends de sa nature ou de la nature et du nombre de consonnes articulées.
- Syllabe ouverte : je rappelle qu’une syllabe ouverte est une syllabe qui se termine avec une voyelle articulé, si on prends l’exemple précédent, c’est che qui est la syllabe ouverte. quand la voyelle est libre en finale absolu elle est toujours brève ex combat [kɔ̃ba], ami [ami], entrevu [ɑ̃trəvwar]
- Voyelles orales : les sons [a], [o], [ø] sont toujours longues quelque soit la nature et le nombre des consonnes articulées ex base [ba:z], débâcle [deba:kl], émeute [emø:t], prose [pro:z]
- Ces voyelles sont également longues devant le groupe de consonnes v+r ex livre [li:vr]
- Dans tous les autres cas, les voyelles sont brève (là on met pas les deux point après la voyelles) :
- Voyelle suivit de p ex type [tip] groupe [grup]
- Voyelle suivit de t ex diplomate [diplɔmat]
- La voyelle est aussi brève quand elle est devant un groupe de consonnes bl/kl/rm ex visible [vizibl] siècle [sjɛkl] infirme [ɛ̃firm]
- Ces voyelles (nasales) sont longues aussi devant un groupe de consonnes ex craindre [krɛ̃dr] , tremble [trɑ̃bl] , homme [ɔm] , humble [œ̃bl]
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- Les consonnes : On appelle consonnes les sons formés dans le larynx, par l’expiration de l’air des poumons et qui peuvent rencontrer des obstacles en s’échappant. si l’air expiré fait vibrer les cordes vocales, il y a émission des consonnes sonores b/d/g/v/z/ʒ/l/R/m/n/ɲ/ŋ/ sinon, il y a émission des consonnes sourdes p/t/k/f/s/ʃ/
- Consonnes nasales et orales
- Consonnes orales : L’air s’échappent seulement par la cavité buccale, le voile du p lais étant relevé exemple t/s/k/v/z/v
- Consonnes occlusives : Quand il y a occlusion (fermeture complète) du canal buccale. l’air expiré, d’abord est arrêté par un obstacle puis s’échappe brutalement. ce qui produit des « consonnes occlusives ». ces consonnes s’appelle des « explosives » aussi vu qu’il a une sorte de bruit d’explosion, elles sont aussi des « monotones » puisque le bruit produit ne se prolonge pas. quand le blocage rencontré par l’air est constitué par les lèvres joins on a les sons p/b/m, quand ce blocage est produit par la langue qui se relève sur le palais on a des sons tel que ɲ et quand ce blocage ce produit par l’appuie de la langue sur le dents hauts on a des sons comme t/d/n.
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